Nos présidents nous accompagnent, sont omniprésents dans notre actualité. Ils nous agacent parfois. On ne peut les oublier, ils font partie de nos vies.
Et puis ils sont remplacés, et qu’en gardons-nous en mémoire en dehors de quelques anecdotes, vaguement une silhouette ou un visage… des sensations vagues. Quels bilans de 14 ans de « règne présidentiel » pour le président Mitterand, 12 ans pour le Président Chirac, 5 ans Pour le président Sarkozy, 5 ans pour le président Hollande… et en cours de premier mandat pour la président Macron…
Ils ont parfois d’ailleurs été ministres sous les mandats des autres présidents.
Alors les Matriochkas, les « poupées russes », cette traditions simple et élégante de présenter des dirigeants devraient vous plaire : A partir de chaque figurine, une occasion de se rappeler, expliquer, refaire le chemin des souvenirs et des petites phrases de chacun, que ce soit en famille, entre amis ou au travail.
Mitterand ou la force tranquille, l’homme du programme commun de la gauche, à l’époque où le parti communiste avait plus de 20% des suffrages en France. La cohabitation avec son premier ministre Jacques Chirac… qui est devenu président. L’homme connu pour serrer des mains et faire des promesses comme aucun autre. Puis, Nicolas Sarkosy, ministre dans un de ses gouvernements, qui l’a parait-il trompé pour revenir en conquérant prendre la présidence. Un président omniprésent, presque « agité » avec des conjointes/épouses qui font parler d’elles en dehors des conventions. Avec le président Hollande, qui signe le retour de la gauche après un seul mandant de la droite, les choses s’accélèrent. Il a été un président pas « programmé », greffé sur le scandale du candidat Strauss Kahn qui était pressenti. Comme il le disait, un président « normal » mais une vie affective « riche ».
Et enfin le président Macron, qui n’a pas fini de nous apporter son lot quotidien d’anecdotes.